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Féry-Voignier
les-oeuvres
A la recherche de l’harmonie. Plus particulièrement celle entre le naturel et l’artificiel. Deux antagonistes qui s’allient et se respectent pour façonner un avenir prometteur. Visitez ma chaîne youtube pour mieux comprendre
Je vais brièvement vous expliquer comment est né Féry-Voignier et sa dualité harmonieuse. J’ai commencé à peindre en même temps que mes études de cinéma à Paris en 1999. J’avais ce besoin de créer en attendant le long processus de production de mes premiers courts-métrages. Autodidacte dans l’art pictural j’apprenais en m’exerçant, en visitant les musées et galeries de Paris et en regardant de nombreux reportages sur les grands maîtres de la peinture. Passionné par le 7 ème art, de nombreux films m’ont également inspirés. Plus tard j’ai visité la Tate Britain à Londres où j’ai découvert les oeuvres lumineuses de Joseph Mallord William Turner. Ce fût un déclic. J’étais fasciné par les oeuvres de ce « peintre de la lumière » en me demandant comment est-ce possible d’obtenir une telle luminosité juste avec la « matière peinture »? J’avais très envie de produire des tableaux similaires. Peindre est ainsi devenu une nécessité. Pour obtenir ma quête d’éblouissement, j’ai longuement essayé la peinture à l’huile, la poudre dorée, le clair-obscur. Mais c’est quelques années plus tard que j’opte pour la peinture acrylique projetée avec un pistolet aérographe. La technique m’enchante et j’obtiens satisfaction en créant des couchers de soleil éblouissants mais aussi en créant des traits de néons lumineux. Je constate que j’aime autant reproduire de la lumière artificielle que de la lumière naturelle. Voici qu’émerge les prémices de mon architecture picturale singulière. Une architecture guidée par un de mes principes fondateurs où je prétends que tout n’est que dualité sur terre et dans notre existence. D’où le choix de mon nom d’artiste Féry-Voignier ; les noms respectifs de mes parents qui ont des tempéraments diamétralement opposés. Dès lors, peindre s’apparente à une conviction. J’aime autant la nature que la technologie. Je les représente sur mes oeuvres avec des rayons du soleil et des « traits-néons minimalistes ». Pour symboliser mon envie d’harmonie entre le naturel et l’artificiel j’inclue une sphère entre ces deux antagonistes. Ainsi nait la dualité harmonieuse et son dogme : A la recherche de l’harmonie. Plus particulièrement celle entre le naturel et l’artificiel. Deux antagonistes qui s’allient et se respectent pour façonner un avenir prometteur. La technologie je l’espère progressiste. Une technologie non polluante et complémentaire de la nature. Je crois en mes convictions car ces dernières années j’ai subi de graves problèmes de santé mais atténués grâce à l’évolution de la médecine et de la technologie. Et je découvre en me documentant que de plus en plus de chercheurs et entreprises trouvent des solutions pour améliorer l’artificiel, nos vies et la préservation de notre planète. Voilà comment après toutes ces années j’ai inventé une architecture picturale singulière, symbolique et optimiste. Ma quête s’évertue dorénavant à créer des oeuvres symboliques et emblématiques, ne serait-ce que pour sublimer l’importance de l’art dans le monde et dans une vie humaine. J’aime me convaincre qu’une oeuvre d’art engendre un pouvoir spirituel. J’ai dernièrement entendu dans un dialogue de film ceci : « Les amateurs recherchent le soleil, malheur à eux. Le pouvoir, lui, reste dans l’ombre. » Je suis donc un amateur qui dans l’obscurité ne cesse de chercher la lumière. Cette lueur dite « espoir » qui me permet d’inventer, d’évoluer et d’aimer. Un amateur qui ne souhaite que partager ce frisson. Celui qui nous donne la force de rester debout. Ma dualité harmonieuse ne fait que commencer mais elle a déjà évolué sous plusieurs formes : paysages minimalistes, figuratifs, polyptyques, signature à la place de la sphère… J’espère qu’elle séduira autant votre coeur que votre esprit.
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